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littérature jeunesse - Page 4

  • Mémoires de la Forêt de Mickaël Brun-Arnaud

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    • mémoire de la forêt,les souvenirs de ferdinand taupe,sanoe,mickaël brun-arnaud,littérature jeunesseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Mémoires de la Forêt ?

       "Est-ce que je suis influençable ? Évidemment. À force de croiser ce roman partout, aussi bien en ligne qu'à la librairie, paré de sa belle couverture, et de ne lire que des avis excellents, j'ai fini par céder."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Dans sa librairie de Bellécorce, Archibald Renard vient de vendre les Mémoires de son ami Ferdinand Taupe. Mais ça tombe très mal parce que celui-ci, atteint de la maladie de L'Oubli-Tout, en a plus besoin que jamais. Les deux compères partent alors ensemble sur les traces du passé..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est très poétique, cette façon de parler d'un sujet si douloureux avec autant de délicatesse est un enchantement. Je salue ce choix aussi que je trouve audacieux, il n'y a pas que des évènements joyeux qui émaillent le récit, loin de là, et si j'ai lu beaucoup d'avis d'adultes, je serais vraiment curieuse de savoir comment le roman est reçu par les plus jeunes. Pour ma part, j'ai vraiment passé un agréable moment et je n'ai pas de points négatifs particuliers à soulever et pourtant, il m'a manqué un petit quelque chose que j'ai du mal à définir, peut-être un peu plus de profondeur dans les personnages, peut-être une pointe d'humour, je ne sais pas. Ça ne m'a pas empêchée d'être très émue en découvrant le choix de Maude.

       J'applaudis l'ajout du carnet de croquis dans les dernières pages. De toutes façons, j'ai absolument adoré l'ensemble des illustrations. Elles sont un plus indéniable à l'histoire et jouent même à mon avis, si je peux me permettre, une part non négligeable dans le succès de l'ouvrage."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Je continuerai cette série à l'occasion mais alors que je pensais vouloir me ruer sans attendre sur le tome suivant, j'attendrai patiemment le passage de chaque saison correspondant à l'histoire."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

     

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    Catégories : Lire en Légèreté 1 commentaire
  • Young-Soon Perdue dans le Temps d'Eric Senabre

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    • young-soon perdue dans le temps, Eric senabre, didier jeunesse, littérature coréenne, Corée du Sud, passion hanguk, littérature jeunesseMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Young-Soon, Perdue dans le Temps ?

       "C'est mon amie Chloé qui m'a informée de la sortie de ce roman et cet éditeur, Didier Jeunesse, m'intriguait déjà alors je n'ai pas hésité à les contacter et j'ai eu la chance de recevoir le roman quelques jours plus tard dans ma boîte aux lettres."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Young-Soon est à la frontière épineuse entre l'enfance et l'adolescence et les questions sur son adoption se bousculent dans sa tête. Mais lorsqu'elle trouve un téléphone qui vient du futur, les réponses sur son avenir semblent à portée de clic..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un petit roman très chou, plein d'émotions qui m'ont fait monter les larmes aux yeux à plusieurs reprises... C'est très jeunesse aussi mais ce n'est jamais niais. La plume d'Eric Senabre est simple, adaptée à son public et c'est un réel plaisir de lecture. J'ai beaucoup aimé aussi la façon dont il introduit différents aspects de la Corée pour le jeune lecteur qui ne connait pas encore forcément le pays, son histoire et ses traditions. Enfin, j'ai trouvé que l'une des idées en rapport avec le voyage dans le temps était tout simplement géniale et mériterait d'être réexploitée dans un roman plus complexe !

       J'applaudis aussi le travail de la maison d'édition. La couverture est absolument sublime et il y a même un petit marque-page offert à l'intérieur. Ça donne envie de se pencher plus avant sur leurs différentes publications."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'avais un peu peur de côté voyage dans le temps, surtout dans un roman jeunesse. Parfois, c'est trop complexe, parfois trop incohérent mais ici tout se tient et toutes les réponses sont données au lecteur avant la dernière page et j'ai vraiment apprécié cela."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Young-Soon Perdue dans le Temps" ?

  • The Hen Who Dreamed she Could Fly de Sun-Mi Hwang

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    • the hen who dreamed she could fly, littérature coréenne, littérature jeunesse, Sun-mi Hwang, conte, corée du sudMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Hen Who Dreamed she Could Fly ?

       "Dès que l'auteur est coréen, je suis irrémédiablement attirée par un livre et même si celui-ci n'évoque absolument pas le pays, l'histoire de cette petite poule m'intriguait."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Sprout est une poule pondeuse mais elle ne supporte plus d'être enfermée, ne supporte plus qu'on lui prenne chaque jour ses oeufs. Tout ce qu'elle veut c'est vivre libre dans la cour de la ferme et pouvoir couver paisiblement..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un très joli conte pour enfants. C'est tendre, parfois triste. Ça parle de liberté, de courage et de différences. D'amour maternel aussi. C'est poétique et émouvant et j'ai beaucoup aimé faire la rencontre de cette petite poule. Je comprends pourquoi le livre a été traduit dans de nombreux pays et adapté à plusieurs reprises mais ça reste un conte pour enfants. S'il n'était pas épuisé en français, je l'offrirais sans aucun doute à tous ceux de mon entourage mais en tant qu'adulte, je ne sais pas si au-delà de la lecture plaisante, il me restera grand chose de cette histoire mais peut-être que je me trompe. Et ça ne m'empêche pas pour autant d'avoir envie de lire les autres romans de l'autrice. Après tout, ça ne fait jamais de mal de retomber un peu en enfance."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Comme cela devait finir, nous étions prévenus, mais on retrouve bien ici le côté souvent doux amer de la littérature coréenne, plus réaliste que nos sempiternels "tout est bien qui finit bien."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "The Hen who Dreamed she Could Fly" ?